La Planète Terre est-elle englobée?


La Planète Terre est-elle englobée
dans une Grande Civilisation Galactique?
Par Beatriz Gato-Riviera,
physicienne des particules et membre
du Conseil scientifique espagnol de la Recherche.

Le cosmologiste Ken D. Olum, de l'Université Tufts, après quelques estimations, conclut : « Nous devrions nous trouver dans une grande civilisation (de taille galactique)… mais en réalité, nous ne nous y trouvons pas. » « Je veux explorer l'intrigante possibilité que nous soyons immergés dans une grande civilisation sans en avoir conscience. Étant donné l'existence de millions d'étoiles plus âgées que le Soleil dans toutes les galaxies, nous pourrions ne pas être parmi les observateurs intelligents typiques de l'univers. Les civilisations typiques de galaxies typiques seraient des centaines de milliers, ou des millions de millions d'années plus évoluées que nous et par conséquent des observateurs intelligents typiques seraient des ordres de magnitude plus intelligents que nous.

Les gorilles des montagnes savent-ils que leur « civilisation » fait partie d'une « civilisation » supérieure correspondant à des espèces beaucoup plus évoluées et intelligentes qu'eux-mêmes ? Savent-ils qu'ils constituent des espèces protégées habitant une réserve naturelle dans un pays à l'intérieur du continent africain de la planète Terre ? La réponse à ces questions est certainement « Non » ils ne savent rien de notre structure sociale, nos pays, frontières, religions, politiques, ni même de nos villages et de nos villes, sauf peut-être ceux qui vivent dans un zoo, ou comme animaux de compagnie.

De la même façon, la civilisation humaine de la planète Terre pourrait être immergée dans une civilisation beaucoup plus vaste sans le savoir, par des espèces beaucoup plus évoluées et intelligentes que nous-mêmes. Après tout, le Soleil n'est qu'une jeune étoile parmi des milliers de millions d'étoiles beaucoup plus vieilles dans notre galaxie, et l'existence possible de civilisations si avancées n'est qu'une question d'évolution biologique faisant son travail, lentement mais inexorablement à travers les millénaires. Si c'est le cas, il est tout à fait sensé de supposer que ces individus considèrent notre planète comme une réserve naturelle, remplie d'espèces animales et végétales, le système solaire ne constituant rien qu'une petite « province » à l'intérieur de leur vaste territoire.

Dans ce contexte, la réponse à l'habituelle remarque, « S'il y a des extraterrestres avancés dans les parages, pourquoi ne nous contactent-ils pas ouvertement et officiellement, et ne nous enseignent-ils pas leur science et leur technologie » semble évidente. Quel pays sur cette planète enverrait une délégation officielle dans le territoire des gorilles des montagnes pour se présenter « ouvertement et officiellement » aux autorités gorilles ? Leur serreraient-ils la main, concluraient-ils des accords et échangeraient-ils des signatures avec les mâles dominants ? Pour ce qui est de nous enseigner leurs science et technologie, qui serait volontaire pour enseigner la physique, les mathématiques et l'ingénierie à une troupe de gorilles ? De plus, on doit prendre en compte les limites des possibilités du cerveau humain, indépendamment de la culture de l'éducation. Par exemple, demandons-nous combien de bananes seraient nécessaires aux gorilles les plus intelligents pour comprendre les équations de l'électromagnétisme (même s'ils avaient accès à la télévision ou la radio).

De la même façon, nous pouvons nous interroger sur le nombre de sandwiches, de chips ou de cigarettes nécessaires pour que les plus intelligents de nos scientifiques comprennent les résultats-clés scientifiques d'une civilisation beaucoup plus avancée. Nos facultés et possibilités intellectuelles sont limitées par les capacités de  notre cerveau, en aucun cas infinies. Par conséquent, il est très naturel et censé de présumer que des concepts scientifiques clés importants puissent exister, dont la compréhension se situe complètement au-delà des capacités cervicales de nos espèces, mais à portée des cerveaux beaucoup plus évolués et sophistiqués de civilisations plus avancées.

Ken D. OLUM a écrit un article sur l'idée que, dans l'Univers observable, en raison de l'existence de milliers de billions d'étoiles plus âgées que le Soleil, il doit exister des civilisations beaucoup plus vieilles que les nôtres qui auraient pu se répandre largement à travers l'Univers. Dans ses estimations, il considère un mécanisme cosmologique appelé « inflation » et utilise aussi le postulat anthropique que « nous devrions nous situer parmi les observateurs typiquement intelligents de l'Univers ». Il prédit une forte probabilité pour que nous soyons partie d'une civilisation plus grande. Olum écrit « quoiqu'il en soit, nous n'appartenons pas à une telle civilisation ; Donc il y a quelque chose qui cloche… mais alors quelles autres erreurs faisons-nous ? ».

La réponse à cette énigme est que nous pourrions bien faire partie de civilisations plus larges embrassant notre galaxie (ou une grande région de celle-ci) sans en être conscients. Donc, une solution évidemment naturelle est que nous appartenons en effet à une grande civilisation très avancée, mais sans en être « citoyens », à cause de notre état inférieur, primitif. Olum fait l'erreur de penser, primo, que nous sommes des observateurs typiquement intelligents, et secondo, qu'appartenir à une civilisation implique en être un citoyen.

Les affirmations d'Olum quant à l'inflation cosmologique qui devrait augmenter la probabilité que nous vivions  dans une grande civilisation ne sont pas très convaincantes. Toutefois, ce serait le cas s'il existait des milliers ou des millions d'univers parallèles séparés de nous à travers des extra-dimensions, comme dans des scenarii brane world ( ?) considérés en Physique des Particules (chaque brane constituant un univers). Dans ce cas, il serait naturel de s'attendre à ce qu'une proportion de ces univers ait les mêmes lois physiques que les nôtres (en supposant la moitié constituée de matière et l'autre moitié d'anti-matière). Et un grand nombre des civilisations avancées correspondantes dominerait les techniques de voyage ou de « saut » à travers les extra-dimensions (au moins une partie d'entre elles). Il se pourrait même que l'expansion vers d'autres univers parallèles puisse être plus facile, à moindre coût, que l'expansion à l'intérieur de sa propre galaxie. Par conséquent, nous pourrions aussi nous attendre à des colonisateurs venus d'autres univers, construisant des « empires » multi dimensionnels.

Dans beaucoup d'autres univers, cependant, les lois de la physique seraient différentes. Ce qui ne veut pas dire, toutefois, que ces Univers « Obscurs » seraient nécessairement vides d'êtres intelligents. Si certains possèdent des civilisations avancées, quelques individus pourraient même « sauter » dans notre univers, mais nous ne pourrions ni les voir, ni parler à ces Visiteurs Obscurs (et vice-versa). Ils ne pourraient pas nous coloniser non plus.

Discutons en détail de la possibilité pour notre petite civilisation terrestre d'être englobée dans une grande civilisation sans le savoir. Dans notre galaxie il y a des milliers de millions d'étoiles plus vieilles que le Soleil. Par conséquent, il paraît tout à fait normal d'envisager l'apparition de civilisations technologiques dans un nombre raisonnable de systèmes solaires, dont une fraction aurait survécu assez longtemps pour se propager à de grandes régions de la galaxie. Est-il très étonnant que le Système Solaire n'ait jamais rencontré, ou n'ait jamais été colonisé par une quelconque civilisation avancée, ou bien l'a-t-il été ?

Olum avance que, dans le cours de l'expansion et de la colonisation, les civilisations plus avancées propulseront les moins avancées à leur propre niveau afin de les intégrer, ou bien elles les exploiteront, les endommageront ou les annihileront afin de conquérir la planète, dans le cas de colonisateurs agressifs. Or, intégrer une civilisation primitive dans une avancée constitue une possibilité des plus irréalistes. Entre autres raisons, les différences entre leur capacités mentales et celles des individus primitifs seraient pathétiques.

De ce point de vue, il devient beaucoup plus facile d'accepter désormais l'éventualité que le Système Solaire puisse avoir été contacté et colonisé il y a beaucoup de milliers ou même de millions d'années par au moins une civilisation avancée non-agressive, qui a traité et traite encore notre planète comme une réserve naturelle protégée. Peut-être le Système Solaire a-t-il été visité par des colonisateurs agressifs, comme par des non-agressifs, ce qui a provoqué batailles et négociations. Peut-être les vaincus agressifs reviendront-ils dans le futur pour une nouvelle tentative.

Cette conception de nous-mêmes, en tant que petite civilisation primitive immergée dans une vaste civilisation avancée conduit à la découverte que nous pourrions nous situer non parmi les observateurs typiquement intelligents de notre galaxie, mais parmi la petite proportion d'observateurs à l'intelligence primitive, totalement ignorants de leur statut inférieur.

Il se pourrait que toutes les galaxies typiques de l'Univers soient déjà colonisées (ou de grandes régions de celles-ci) par des civilisations avancées. Que les sous-civilisations primitives sachent ou ignorent leur basse condition dépendra des standards éthiques de la civilisation avancée dans laquelle elles sont immergées.

Si ces standards sont bas, les individus des sous-civilisations primitives seront trompés de multiples façons, de même que, dans notre civilisation, de grands groupes d'êtres humains en trompent d'autres en situation de faiblesse, comme les animaux en général. Dans ce cas, les individus primitifs seront douloureusement conscients de leur statut inférieur. Si les standards éthiques des individus avancés sont élevés, au contraire, alors ils respecteront l'évolution naturelle (biologique, sociale, culturelle) des sous-civilisations primitives, les traitant comme une sorte d'espèce protégée. Dans ce cas, les individus primitifs seraient complètement inconscients de l'existence de cette grande civilisation avancée dans laquelle ils sont plongés.

Si le Système Solaire fait partie du territoire d'une civilisation avancée, pourquoi ne détectons-nous pas de signal de civilisation dans aucune de ses planètes ou satellites ? Ce serait normal s'ils avaient construit des bases dans tout le Système Solaire, y compris des bases souterraines et sous-marines sur Terre, et des colonies sur ou sous la surface de quelques planètes solides et gros satellites (ce que nous projetons de faire nous-mêmes dans le futur). La réponse la plus simple serait qu'ils ne trouvent pas le Système Solaire suffisamment attractif pour y vivre eux-mêmes et qu'ils auraient donc quelques petites bases difficilement décelables. Toutefois, une explication alternative serait que, conscients de l'existence de civilisations avancées agressives, ils auraient développé des systèmes de camouflage très sophistiqués, de sorte qu'aucun signal de civilisation ne puisse être détecté par des observateurs extérieurs or leurs sondes spatiales. Probablement, dans beaucoup de cas, ils manipulent et faussent les données globales de leurs planètes pour induire les observateurs extérieurs en erreur.

Ainsi nous ne pouvons pas être certains que notre civilisation est l'unique civilisation habitée du Système Solaire. Nous ne devrions pas présumer que les données reçues, sans signal de l'existence de vie intelligence, prouvent qu'il n'y a personne dehors. La supposition juste serait qu'il n'y a pas de signal de civilisation primitive comme la nôtre, lui permettant d'être détecté par des observateurs extérieurs, mais on ne peut rien dire sur la possibilité de civilisations avancées, capable de tromper des télescopes, détecteurs et sondes spatiales, qui ne s'autoriseraient pas à être décelés.
Dans le passé, les gens pensaient que la Terre était au centre de l'Univers, mais nous en savons plus maintenant. En dépit de cela, pour beaucoup d'êtres humains, la Terre demeure le centre de l'Univers, la planète élue habitée par les êtres les plus parfaits et intelligents de l'Univers : la Couronne de la Création (Il y a même des scientifiques et des « intellectuels » qui se demandent si l'Univers entier n'a pas été créé juste à notre intention, nous êtres humains terrestres !).

Sommes-nous englobés sans le savoir dans une civilisation plus avancée, davantage que les gorilles sont englobés dans la nôtre ? Pourquoi la civilisation avancées ne se manifesterait-elle pas ouvertement à nous ? La raison serait que nous ne sommes pas qualifiés pour constituer des membres ni des associés à la hauteur, bien que nous puissions être qualifiés d'animaux de compagnie ou de « petits amis ». Pourquoi ne pouvons-nous pas dire qu'ils sont là ? La raison serait que, génériquement, toutes les civilisations avancées sont indétectables pour raisons de sécurité, à cause de l'existence de civilisations avancées agressives. En tout cas, pourquoi des civilisations avancées autoriseraient-elles des civilisations étrangères à regarder leurs villes, laboratoires, installations militaires, quand elles peuvent les abuser très facilement ?

Si nous sommes une des « espèces protégées écologiquement » d'une civilisation avancée, une raison pour un  individu de cette civilisation d'établir le contact avec nous, individus primitifs, pourrait être à fin de recherche scientifique, mais aussi simplement à fin d'amusement et de détente –les sortes de sentiments qui nous poussent à interagir avec chats et chiens et beaucoup d'autres espèces animales. De plus, s'il y a sur notre planètes des millions d'amoureux du chat et du chien, et même des amoureux du serpent, du cochon et du gorille, il est normal de s'attendre à ce qu'il puisse exister des amoureux de l'être humain parmi les extra-terrestres avancés. Ceci, et des situations similaires, serait particulièrement vrai pour des individus avancés ayant passé de longues périodes de travail sur des planètes primitives, vivant dans des bases souterraines ou d'ennuyeuses bases sous-marines, qui existeraient si notre planète était incluse dans une autre civilisation.

Les criminels de la civilisation avancée pourraient également être intéressés par les individus primitifs. Nous pouvons imaginer des douzaines d'intentions différentes pour lesquelles des individus primitifs pourraient être enlevés, torturés et même tués, y compris « la haute gastronomie » et des jeux sadiques. Il suffit de penser au traitement que des êtres humains cruels infligent à leurs victimes, humains (souvent des enfants) ou animaux. Le niveau moral d'un individu, ou d'une civilisation, ne grandit pas nécessairement parallèlement à ses réalisations technologiques et scientifiques, ou à son niveau de bien-être matériel.

SETI pourrait être SETPI : la recherche d'une intelligence extraterrestre primitive, parce que seule des civilisations primitives s'autoriseraient à être détectées par des observateurs extérieurs. De plus, les civilisations primitives devraient avoir atteint le niveau technologique approprié pour produire des émissions électromagnétiques leur permettant d'être détectées par des civilisations éloignées. Par conséquent, la période de détectabilité d'une civilisation moyenne devrait durer moins de 500 ans (à moins qu'ils apprennent à se camoufler), ce qui rend très peu probable qu'une civilisation primitive puisse en détecter une autre. Pour ces raisons, ce scénario prédit une probabilité plutôt basse de succès pour le projet SETI.

Je n'ai pas fondamentalement d'opinion sur les nombreux récits de contacts ou d'enlèvements extra-terrestres, n'ayant pas fait de recherche en la matière. Cependant, je crois que les assertions sur des civilisations plus avancées que la nôtre doivent obligatoirement sembler des idées ridicules, hilarantes et de haute science-fiction. Mais la même chose serait arrivée si nous avions décrit nos postes de télévision, avions, fours à micro-ondes, ordinateurs, etc… à des gens il y a seulement cent ans. Beaucoup de gens, y compris beaucoup de scientifiques, ont une répugnance profondément ancrée et de l'aversion à accepter la possibilité de l'existence d'espèces extra-terrestres nettement plus avancées et intelligentes que nous, et qui pourraient même visiter notre planète. Je nomme ce préjugé le « syndrome de la Couronne de la Création » (CCS). Curieusement, alors que beaucoup de personnes croyantes ne souffrent pas de ce syndrome, c'est le cas de nombreux athées. Cela pourrait être parce que, si les religions et l'humanisme surestiment souvent la grandeur et l'unicité de l'espèce humaine, les religions, elles, enseignent également l'humilité.

Sources




En février 2010, Laura Eisenhower révèle pour la première fois qu'elle a été invitée, en 2006 et 2007, à rejoindre la colonie clandestine US sur Mars. Elle écrit alors : « Mon arrière-grand-père, le Président Eisenhower («Ike»), qui fut aussi le général d'armée qui conduisit à la victoire les Forces Alliées contre Hitler, s'est battu contre la malfaisance des pouvoirs corrompus de la planète en endossant certains des scénarios les plus difficiles de notre histoire. En grandissant, j'ai eu le sentiment qu'il me fallait terminer cette bataille dont les racines sont très anciennes. Hitler est mort et les Nazis ont perdu leur pouvoir, mais pas ces entités - dont certaines sont des ET. Elles ont trouvé de nouveaux asiles et fait alliance avec des gens qui font partie de l'Élite Mondiale... ceux-là mêmes qui veulent gouverner par des tactiques de peur, par le contrôle et la suppression de Sophia [la sagesse], ou l'essence de la féminité divine. ».


Aujourd'hui, en ce début d'année 2011, dans une déclaration publique, lors d'une interview diffusée sur Exopolitics TV, Mme Eisenhower présente son point de vue original sur la façon dont la conscience unifiée éclairée - ce qu'elle appelle la conscience «Sophia/Christ» - sera le catalyseur d'une transformation globale majeure de notre époque.

Deux Eisenhower exposent le complexe militaro-industriel

Tout comme son arrière-grand-père le fit dans son discours de Farewell, le 17 janvier 1961, Laura Eisenhower offre une critique des effets destructeurs du complexe militaro-industriel sur notre planète, sur la société humaine, et sur notre place légitime dans l'univers.


Dans une très longue déclaration publique du 17 Janvier 2011 – 50 ans jour pour jour après le légendaire discours au peuple américain de son arrière-grand-père à Farewell

Laura Eisenhower écrit :
« Depuis que mon arrière-grand-père en a parlé pour la première fois, il y a cinquante ans aujourd'hui, le complexe militaro-industriel a prospéré sous le sceau officiel du secret d'État, et quand bien même y aurait-il quelque divulgation sur sa nature, celle-ci consisterait très probablement en une diversion qui ne révélerait jamais pleinement pourquoi cette culture du secret a prospéré, ni ce qui a été fait dans notre dos pendant toutes ces années. Quoi qu'il en soit, cette divulgation est inéluctable et se répand dans nos rangs, et si nous pouvons comprendre et intégrer d'autres vérités de valeur, nous serons protégés contre toute révélation utilisée pour introduire de faux concepts qui nous repousseraient dans les limbes de la mystification. Cinquante ans après l'avertissement du Président Eisenhower au peuple américain sur l'existence du complexe militaro-industriel, cette culture se prépare à divulguer les fruits de cette effarante entorse au bon sens depuis 50 ans, dont l'introduction de robots humains agissant comme des armes de guerre, et même une fausse guerre avec une race ET qui utilise la technologie holographique depuis des décennies. Même si nous assistons à certains aspects de l'émergence d'un agenda catastrophique, nous ne devons jamais oublier cette vérité : nous avons le choix de ne pas nous aventurer sur ce chemin. En fin de compte, tout ce que nous voyons se produire dans notre monde révèle la santé de tout l'ensemble en tant qu'extension de nous-mêmes, puisque nous sommes des extensions de nombreuses dimensions, dont nous rayonnons celles qui correspondent à notre fréquence vibratoire. Si nous ne faisons pas partie du problème, alors n'avons-nous pas à nous engager dans les batailles qui ont été préparées pour nous. J'ai la conviction que le Président Obama est un bon leader, mais quand même, nous ne voulons pas rester aveugles face à la réalité que l'on nous cache, et qu'on lui cache aussi peut-être. ».

Mme Eisenhower continue :

« Il nous faut faire face au fait qu'une grande partie de ce qu'il se passe clandestinement crée un drame inévitable pour le futur, car ils ont dépensé des trillions de dollars de nos taxes sur des projets qui ne servent que leur mentalité élitiste. Ces projets incluent un programme spatial secret avec des colonies hors-planète accessibles par téléportation, la prise pour cibles d'individus qu'ils perçoivent comme des menaces, HAARP, des armes psychotroniques, des bases souterraines à grande profondeur, et des coups fourrés, comme le 9/11, pour nous conduire toujours plus vers un État policier. Derrière la scène, des pratiques occultes - dont des rituels sataniques, d'horribles abus sur des enfants, et la création d'agents-esclaves pour les servir - sont utilisées pour contaminer le corps planétaire avec des fréquences négatives qui, pour eux, sont de la nourriture.

C'est de cette façon qu'ils maintiennent leur pouvoir et leur influence, derrière leurs rideaux. Cela engendre de la peur, de la souffrance et des sentiments négatifs, lesquels sont la force vitale dont ils se nourrissent. Aussi horrible que tout cela paraisse, il y a, en fait, une issue. C'est pourquoi il est vital que nous comprenions le concept de la conscience Christ/Sophia, et la façon dont les forces inférieures ont affecté notre ADN en produisant de l'ADN poubelle [junk DNA], inutilisé et inactivé, comme il est vital que nous comprenions comment, en retour, tout cela se connecte au corps planétaire, à ses voiles et à la suppression de la Déesse. Ce n'est pas un truc Nouvel Âge. C'est très ancien. Il n'y a nul besoin de lui coller une quelconque étiquette. Il ne s'agit pas de conformité physique, ni d'être une femme. Il s'agit de la Création et de ce à quoi on se heurte, de voir jusqu'où penchera la balance vers ces monstrueux mystificateurs va-t-en-guerre qui nous contrôlent. Il nous faut lutter pour atténuer tout cela, restaurer notre monde, et rendre son pouvoir à Gaia.

Leur soif pour notre impuissance et notre confiance aveugle est davantage aggravée encore par leur utilisation du contrôle psychique [mind control] et des puces électroniques, lesquels ne permettent plus aux individus d'accéder à leur voix intérieure ni de se connecter à leur Source. Certains, bien sûr, sont directement impliqués dans leurs programmes, tandis que d'autres se languissent dans une sorte de transe quand la fréquence des ondes courtes ELF émises par leur récepteur TV maintient leur esprit bloqué au ras des pâquerettes, obsédé par la vie des autres et le consumérisme. Les toxines nerveuses des chemtrails troublent en permanence notre système nerveux, tout comme nous sommes infectés sur les plans physique et psychique par nos désillusions, de concert avec notre profond et puissant désir d'être libres, parce que rien ne tourne vraiment rond. Les races ET inférieures et leurs technologies ont choisi des alliés terriens pour créer, ensemble, leurs programmes. Ils sont sur Terre, dans des bases souterraines (en particulier les Gris), pour des programmes d'hybridation destinés à détruire la volonté de la Nature, l'Âme et la Conscience Supérieure du Tout - et ainsi pouvoir diriger l'Univers pour finalement asseoir leur domination en se cachant dans leurs colonies hors de la planète jusqu'à ce qu'un jour, peut-être, ils puissent revenir sur la Terre pour la gérer ou l'emmener dans les étoiles, et juste la laisser s'auto-détruire. Il y a aussi de nombreuses races ET bienveillantes, et notre défi est de faire la différence. Par le passé, des traités ont été rompus, il y a eu des déceptions, et ce qui semble amical n'est parfois juste qu'une façade. ».

Conscience unifiée et transformation globale

Dans sa déclaration à l'aube de 2011, Laura Magdalene Eisenhower passe sur la dégradation de la guerre économique permanente pour s'attarder sur la percée de la Conscience Unifiée comme pilote d'une transformation globale.

Mme Eisenhower déclare :

« Conscience Unifiée et retour de la femme divine ; équilibre, nutrition, amour et sagesse supérieurs ; extirper notre énergie du faux système qui s'en nourrit ; et choisir de nous en désintoxiquer, de nous déprogrammer, en supportant les causes qui comptent pour nous, celles vers lesquelles nous pouvons mieux diriger notre énergie. Il est important de réaliser que nous faisons partie de cet organisme planétaire, Gaia, qui est essentiellement le corps de la Déesse qui s'est transformé en planète, et dont la matrice est à la fois cosmique et terrestre. Gaia est multidimensionnelle, elle a des personnifications d'elle-même sur la Terre qui tiennent lieu de passerelles vers les multiples dimensions des mondes supérieurs. Via les cycles de Vénus en tant que champ unifié, nous avons la possibilité de lever ces voiles et de créer une transformation globale... ».

Laura Eisenhower parle du retour de la féminité divine*. Elle déclare :

« L'énergie de la Déesse est notre chaînon manquant aujourd'hui même, car son histoire n'est pas juste celle du pouvoir féminin dans le monde - elle représente aussi le pouvoir cosmique dont les origines se trouvent dans la création de tous les mondes, dans un royaume appelé Ain Soph, ou Bythos, où Sophia se présenta en formant le Plérôme [Plénitude] et les Aeons [Âges] - la première matrice de la création qui donna naissance à des paires divines, Dieux et Déesses. Elle est aussi appelée la Déesse aux 100 000 noms pour ses multiples aspects, ses incarnations, et les différentes variations que chaque culture a attribué à son nom. Elle a été vénérée dans des civilisations dont nous voyons aujourd'hui des artefacts et des ruines archéologiques. Nombre de ceux qui vivent dans ces endroits sacrés ont toujours une forte affinité pour elle et l'honorent en voyant les terres comme étant son corps, le monde souterrain étant sa conscience et sa matrice, en tant que Reine des Cieux et de l'Esprit Saint. Elle a existé dans certains lieux comme en Égypte, à Glastonbury, en Grèce, en Inde, et dans les mythes et les légendes d'Avalon, de l'Atlantide, de la Lémurie et de nombreux systèmes stellaires supérieurs qui la révèrent en incarnant son essence et ses aspects. ».

Dans sa déclaration, Mme Eisenhower suggère que c'est cette dimension féminine de la nature, apaisante, que le complexe militaro-industriel, et la société technocratique qui a émergé autour de lui, ont cherché à supprimer.

Le discours complet de 2011 de Laura Eisenhower est accessible en cliquant ici :
sites.google.comconsciousness-and-creating-global-transformation

Surveillance spatio-temporelle des futurs présidentiables

Dans son interview sur ExopoliticsTV, Laura M. Eisenhower dit avoir été pré-identifiée via la technologie spatio-temporelle [voyage dans le temps] utilisée par le Project Pégasus du DARPA, au début des années 70, comme étant une future alliée de Andrew D. Basiago, un pionnier spatio-temporel et une figure du Mouvement pour la Vérité [The Truth Movement]. Avocat dans l'État de Washington [sur la côte ouest], M. Basiago révèle au public l'existence d'un programme secret sur le voyage spatio-temporel du Département de la Défense US qui a débuté à la fin des années 60, programme auquel il a participé quand il était enfant; ce programme inclut l'identification des futurs leaders US en utilisant différentes formes "d'accès quantique" ["quantum access"].

Sur cette radio consacrée aux interviews et débats, Coast-to-Coast AM with George Noory, le 11 novembre 2009, M. Basiago décrit comment ce programme secret impliquant le voyage spatio-temporel identifiait les futurs candidats potentiels, y compris ceux destinés à servir comme président et vice-président, et comment alors il informait ces personnes sur leur destinée.

M. Basiago déclare qu'en 1971, en compagnie de son père, Raymond F. Basiago (décédé depuis), ingénieur pour la Ralph M. Parsons Company (qui tenait aussi le rôle principal dans le Project Pégasus du DARPA), il participe à un déjeuner à Albuquerque, au Nouveau-Mexique, lors duquel les futurs présidents US George H. W. Bush et George W. Bush sont invités, peu de temps après avoir été informés que tous deux serviraient un jour comme présidents - George W. Bush y parlant ouvertement de ce fait.

M. Basiago déclare aussi que le Project Pégasus identifie, au début des années 70, les futurs présidents Jimmy Carter et Bill Clinton en utilisant la technologie spatio-temporelle.
Le Project Pegasus fut capable d'identifier M. Carter, alors Gouverneur de la Géorgie, comme futur Président des USA, parce qu'il fut retrouvé, à partir d'une future copie de Exopolitics : Politics, Government, and Law in the Universe par Alfred Lambremont Webre, un livre que ce reporter n'écrirait pas avant 2005, mais qui portait en citation sur ses pages de garde une déclaration faite par le Président Carter.

Selon M. Basiago, le livre de M. Webre, Exopolitics, parmi d'autres travaux qu'il écrirait ou publierait dans l'avenir, fut retrouvé dans le futur par le Project Pegasus et rapporté dans l'année 1971 ou un peu avant. En 2005, M. Basiago publie le livre Exopolitics de M. Webre. En 1971, M. Webre est Conseiller Général du Comité pour la Protection de l'Environnement de la ville de New York et fait alors toute une série d'expériences lui indiquant qu'il est sous la surveillance du gouvernement US.

En 1972, un an avant la naissance de Laura Eisenhower, M. Basagio, alors enfant, participe au Project Pegasus et surprend une conversation qui lui indique qu'un jour il s'alliera politiquement à Laura. Son nom, « Laura », et son héritage en tant qu'arrière-petite-fille du Président Eisenhower, sont mentionnés dans la conversation qui se tient entre Raymond F. Basiago et l'un de ses camarades ingénieurs de service dans le Project Pegasus.

Laura Eisenhower recrutée par la colonie sur Mars colony en 2006

En mars 2010, sur Exopolitics Radio, M. Basagio et Mme Eisenhower confirment conjointement l'existence sur Mars d'une colonie clandestine pour la survie humaine.

Basagio et Eisenhower décrivent comment cette colonie clandestine sur Mars est financée par les caisses noires de l'armée et des services secrets en tant que mécanisme de survie pour la race humaine, au cas où des éruptions solaires [solar flares], une guerre nucléaire ou quelque autre cataclysme mettraient un terme à la vie humaine sur Terre.

Dans cette interview très dense de 3 heures, M. Basiago appelle cette dissimulation de la colonie martienne le « Marsgate », et il demande que le Congrès fasse une enquête sur la présence US sur Mars, en portant l'accent sur son occupation militaire plutôt que sur une relation diplomatique avec la société martienne indigène.
Mme Eisenhower affirme que « l'Alternative 3 » - cette notion impliquant que des trillions de dollars de ressources soient dépensés pour protéger la race humaine en la plaçant sur Mars - devrait ouvrir la voie à « l'Alternative 4 », un nouvel éveil du public qui aboutira à une civilisation durable sur la Terre.

Leur exposé historique et interactif du Marsgate sur Exopolitics Radio se fonde sur leur expérience personnelle directe.
Pour M. Basagio, son expérience repose sur les deux voyages qu'il fait sur Mars en 1981 quand, alors âgé de 19 ans, il marche sur la surface de la planète après y avoir été téléporté à partir d'une « salle de lancement » dans la base Hughes de l'US Air Force de El Segundo, en Californie. Il pense avoir été sélectionné pour cette tâche parce qu'étant enfant, il avait déjà été téléporté lors du Project Pegasus.

Pour Mme Eisenhower, il s'agit de tentatives faites clandestinement en 2006, elle a alors 33 ans, pour infiltrer sa vie personnelle et la recruter comme membre de la colonie martienne clandestine. Lors de ces efforts pour la recruter, qui l'impliquaient, elle apprend qu'une colonie est en train de s'établir sur Mars pour plusieurs décennies. Elle repousse alors cette tentative de recrutement après s'être libérée de ses manipulations profondément enracinées, et décide d'accomplir sa destinée sur la Terre.

Au cours de l'interview, les deux figures montantes du Truth Movement discutent de leur opposition sur les facteurs qui guident la base secrète martienne. Ceux-ci incluent le secret, l'utilisation de la peur pour manipuler psychologiquement les recrues, l'abus des technologies d'accès quantique et d'autres méthodes secrètes pour identifier de potentiels colonisateurs.

M. Besiago avance l'hypothèse que la colonie martienne est pourvue en personnel par des individus descendant de lignées spécifiques "aryennes", lesquelles contiendraient un substrat génétique martien et ne représenteraient pas la diversité génétique de l'ensemble de la race humaine sur la Terre. Le terme « Aryen » signifie « Martien ». Cela pourrait suggérer que certains groupes ethniques sur la Terre possèdent un héritage génétique qui remonte à l'antiquité, du temps où des humains de la Terre, qui avaient vécu sur Mars, revinrent sur la Terre où ils s'accouplèrent avec des Terriens.
Mme Eisenhower, acquiesçant, aborde les aspects archétypaux et la signification de la dissimulation de la colonie martienne, et suggère qu'elle soit réexaminée.

A plusieurs occasions, M. Basiago, Mme Eisenhower et le journaliste préconisent un traité de l'ONU qui établirait un protectorat sur Mars et normaliserait les relations diplomatiques entre les deux planètes.

Suite à cette interview, M. Basiago et Mme Eisenhower ont publié une déclaration commune s'opposant au maintien du secret pour les colonies de survie sur d'autres planètes :

« Installer des bases de survie sur d'autres planètes est une chose positive pour la race humaine, écrivent-ils. Dans le passé, la Terre a été frappée par plusieurs cataclysmes, et donc devons-nous protéger le génome humain en installant des colonies humaines sur d'autres corps célestes. Toutefois, quand le secret entourant ces projets pousse le gouvernement à dérober aux individus leur libre arbitre, quand l'humanité est exclue du débat sur un sujet qui implique l'ensemble du futur humain et qu'une planète est détournée de sa destinée pour servir un agenda qui ne la concerne pas, la conscience des hommes libres requiert que de tels projets soient entrepris au grand jour sous le regard scrutateur du public, et non pas dans les sombres corridors du complexe militaro-industriel. ».
– Andrew D. Basiago et Laura M. Eisenhower, 2010

Évidence de la présence US sur Mars par des témoins directs

Par leur révélation conjointe, M. Basiago et Mme Eisenhower - l'un est un avocat militant, l'autre fait partie de l'une des familles présidentielles américaines - ont rejoint le cadre toujours grandissant des témoins directs qui se sont faits connaître par leurs dépositions révélant la dissimulation de la présence US sur Mars. Ceux-ci incluent Michael Relfe, qui consigne dans deux livres ses 20 années de service (1976-1996) en tant que membre des forces armées US pourvoyant en personnel la colonie secrète sur Mars, et l'ancien chercheur du Département de la Défense US, Arthur Neumann, qui a déclaré publiquement s'être téléporté dans la base secrète sur Mars pour des réunions sur le projet.

Voir : examiner.com

Mme Eisenhower se fera connaître en 2011

Cette année, Mme Eisenhower fera des apparitions publiques sur le continent US, à Hawaii et au Mexique. « 2011 est l'année de mon âme, » dit-elle. « Le jour, le mois et l'année de ma naissance totalisent 2011. Je m'attends à une grande transformation sur la façon de partager mon énergie et mes idées avec les gens. ».

Elle continue : « Les réunions publiques qui se tiendront cette année nous apporteront une incroyable opportunité, à Andy Basagio, Alfred Webre et moi, pour présenter les aspects de notre vision partagée et de notre éminente collaboration, identifiée dans le passé, via l'accès quantique, au temps où Andy faisait partie du Project Pegasus, pour tout ce qui concerne le Truth Movement et notre travail au cours de cette période critique de notre histoire.

Notre vision partagée se rapporte à l'adoption d'un futur humain positif. En restant fidèles à notre âme alors que nous traversons les lignes du temps, et fidèles à notre mission en dépit des manipulations et des défis, nous partagerons l'expression du nouveau paradigme, ce qui impliquera d'arracher la ligne temporelle positive des mains d'un complexe militaro-industriel qui table sur une ligne temporelle catastrophique. ».

Les thèmes que Mme Eisenhower va développer dans ses conférences publiques en 2011 incluront le pouvoir de l'esprit, la conscience multi-dimensionnelle, le retour de la féminité divine, la transformation globale, et l'existence de technologies classées secrètes qui aideraient grandement notre planète si elles étaient révélées et mises en œuvre.

« Dans nos propres présentations personnelles, » conclut-elle, « il y a un terrain commun que nous développerons tous les trois pour lever le voile, de façon à ce que nous puissions reconquérir notre pouvoir divin pour co-créer un futur qui nous conduise dans l'harmonie, la liberté et la re-connexion avec notre famille Universelle, la Source et la Conscience Unifiée... ».

*D'après les mentors d'Alex Collier, le but véritable de l'Inquisition fut de museler la femme et ses pouvoirs (la chasse aux "sorcières").

Gary McKinnon : le hacker à éliminer
Ses révélations vont dans le sens des propos de Laura Eisenhower

leweb2zero.tv (3 mn 25)

"Alors que Gary McKinnon affirme qu'il désirait mettre fin au secret sur les OVNIs et ainsi libérer la technologie de l'énergie libre, les procureurs américains crient au plus grand hack militaire jamais commis. Il est vrai que Gary s'était introduit dans les systèmes de l'armée, de la NASA, de la Navy, du ministère de la défense et de l'Air Force.

Nous savons qu'il se bat pour éviter une extradition vers les États-Unis, mais savons-nous ce qu'il a découvert exactement ? Dans chacun de ses entretiens, Gary McKinnon mentionne deux trouvailles liées aux OVNIs. Au quotidien The Guardian, il confie avoir trouvé quelque chose de si important qu'il essaie de marchander avec le gouvernement.

Lors de sa première arrestation, on lui propose une négociation : une peine de 3 ou 4 ans.
Il refuse dans l'espoir de raccourcir la durée de la peine en menaçant de publier ses découvertes. Hélas pour lui, le gouvernement US ne se laisse pas impressionner, Gary fait face à une peine de 70 années d'emprisonnement...".

2 commentaires:

Ambre a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
TERRE DE LUMIERE a dit…

J'ai aimé, merci.